Je n'ai jamais pris le temps de clôturer ce blog qui était pourtant dès le départ voué à une existence éphémère. Tout comme je n'ai toujours pas terminé de trier mes photos de voyage.
Je vous vois venir : "quelle feignasse", "si tu touitais moins peut être que...". Je vous arrête tout de suite, et vous donne la véritable explication.
Deux mois après cette grande échappée américaine, il m'est toujours difficile de tourner la page, de me dire que l'aventure est terminée, et que s'éteint avec elle celle de ce blog. (Non, ne pleurez pas bande de gluants!)
Je ne vais pas m'épancher inutilement, mais le retour à la vie sédentaire n'a pas été évident. Qu'importe ! Vous pensiez vraiment que j'allais vous laisser comme ça ? Et abandonner si facilement cette liberté, outrageusement égoïste, d'écrire ce que bon me semble, loin des carcans dans lesquels le journalisme me plonge inévitablement ? Que neni !
Oui, la mouche blogueuse m'a piquée. Depuis mon retour, je ne cesse de chercher un moteur, pour un nouveau blog. D'abord, ce sont des idées tristement banales qui ont surgi (personne n'est parfait) : la musique ? le ciné ? les moufles ? Les cheesecakes ? Le Q ? (oui je sais, vous auriez aimé) Les chats ? (oui, vous pouvez me remercier d'avoir renoncé à celui-ci)
Je savais en revanche ce que je ne voulais pas faire : écrire sur l'univers des médias, parce que je baigne déjà dedans du matin au soir, et que je me regarde déjà assez le nombril comme ça. Et les sujets à caractère économique (pardon @JCFeraud), parce que je ne sais plus poser une division depuis au moins dix ans. (Alors, j'ai quel âge ? Donc je soustrais, donc c'est à peu près ça, enfin je crois. Oh de l'urticaire économique sur ma main droite, STOP)
C'est à ce moment précis que vous êtes censés vous dire "Mais que va-t-elle donc nous proposer de génial ? ", que dis-je, de grandiose, que dis-je, de transcendant, que dis-je, de révolutionnaire ! Et bien rien de tout ça, en fait, parce que j'ai décidé d'écouter tout simplement mes envies, et d'écrire mes coups de cœur, et mes coups de gueule.
Parce que ça me correspond (jamais de gris, c'est soit noir Soulage, soit blanc Marie-immaculé), parce que j'embrasse la subjectivité totale grâce, et parce que j'ai envie de faire un blog le plus personnel possible, à l'image de mon activité de micro-blogging sur Twitter, les signes en plus. En fin de compte, je vous parlerai de ce qui m'interpelle, m'indigne, ou me fascine, en vous le faisant partager de manière ludique. (OMG, j'ai tout à coup l'impression d'écrire une lettre de motivation, FUYONS !)
Je vais donc commencer comme ça, à vous de me dire ce que vous en pensez (mais n'oublier pas de joindre une boîte de chocolats au lait fourrés praliné à vos doléances, je le vivrai beaucoup mieux.) Le premier billet arrivera dans les prochains jours et je ne manquerai pas de diffuser l'adresse du nouveau blog (oooh oui de la personal branlette, ça va être bon !).
Petit indice : il portera sur un homme grand, fort, armé d'un très gros couteau, ayant quelques crises d'érotomanie de temps à autres. Non, ce n'est pas DSK. (loupé, essaie encore !)
Je vous vois venir : "quelle feignasse", "si tu touitais moins peut être que...". Je vous arrête tout de suite, et vous donne la véritable explication.
Deux mois après cette grande échappée américaine, il m'est toujours difficile de tourner la page, de me dire que l'aventure est terminée, et que s'éteint avec elle celle de ce blog. (Non, ne pleurez pas bande de gluants!)
Je ne vais pas m'épancher inutilement, mais le retour à la vie sédentaire n'a pas été évident. Qu'importe ! Vous pensiez vraiment que j'allais vous laisser comme ça ? Et abandonner si facilement cette liberté, outrageusement égoïste, d'écrire ce que bon me semble, loin des carcans dans lesquels le journalisme me plonge inévitablement ? Que neni !
Oui, la mouche blogueuse m'a piquée. Depuis mon retour, je ne cesse de chercher un moteur, pour un nouveau blog. D'abord, ce sont des idées tristement banales qui ont surgi (personne n'est parfait) : la musique ? le ciné ? les moufles ? Les cheesecakes ? Le Q ? (oui je sais, vous auriez aimé) Les chats ? (oui, vous pouvez me remercier d'avoir renoncé à celui-ci)
Je savais en revanche ce que je ne voulais pas faire : écrire sur l'univers des médias, parce que je baigne déjà dedans du matin au soir, et que je me regarde déjà assez le nombril comme ça. Et les sujets à caractère économique (pardon @JCFeraud), parce que je ne sais plus poser une division depuis au moins dix ans. (Alors, j'ai quel âge ? Donc je soustrais, donc c'est à peu près ça, enfin je crois. Oh de l'urticaire économique sur ma main droite, STOP)
C'est à ce moment précis que vous êtes censés vous dire "Mais que va-t-elle donc nous proposer de génial ? ", que dis-je, de grandiose, que dis-je, de transcendant, que dis-je, de révolutionnaire ! Et bien rien de tout ça, en fait, parce que j'ai décidé d'écouter tout simplement mes envies, et d'écrire mes coups de cœur, et mes coups de gueule.
Parce que ça me correspond (jamais de gris, c'est soit noir Soulage, soit blanc Marie-immaculé), parce que j'embrasse la subjectivité totale grâce, et parce que j'ai envie de faire un blog le plus personnel possible, à l'image de mon activité de micro-blogging sur Twitter, les signes en plus. En fin de compte, je vous parlerai de ce qui m'interpelle, m'indigne, ou me fascine, en vous le faisant partager de manière ludique. (OMG, j'ai tout à coup l'impression d'écrire une lettre de motivation, FUYONS !)
Je vais donc commencer comme ça, à vous de me dire ce que vous en pensez (mais n'oublier pas de joindre une boîte de chocolats au lait fourrés praliné à vos doléances, je le vivrai beaucoup mieux.) Le premier billet arrivera dans les prochains jours et je ne manquerai pas de diffuser l'adresse du nouveau blog (oooh oui de la personal branlette, ça va être bon !).
Petit indice : il portera sur un homme grand, fort, armé d'un très gros couteau, ayant quelques crises d'érotomanie de temps à autres. Non, ce n'est pas DSK. (loupé, essaie encore !)